Maintenant il faut faire la queue pour prendre une douche...
Mais il n'y a pas que des désavantages à la vie en communauté.
Nous t'avions laissé sur l'impression que la venue de Manon, Suzanne, Kloé, Cécile, Iris et les autres nous dérangeait. Détrompe-toi ! Tout d'abord, suite à l'arrivée de ce camp chantier, nous avons été évacuées de notre chambre pour leur laisser la place, et bien ce déménagement a été extrêmement positif, puisque nous logions désormais dans une chambre que FAGAD loue à une habitante du village. Autrement dit, nous logions dans le village, et non plus dans l'enceinte protectrice (mais parfois étouffante) des locaux de FAGAD.
Merci les volontaires !
En plus, qui dit camp chantier, dit soirées au son des djembés, repas animés, rencontres intéressantes. Cela nous a également permis d'observer, avec notre petit mois d'expérience de vie togolaise, les différents problèmes qui peuvent survenir lorsque deux cultures très différentes n'arrivent pas à se comprendre. Ces petits moments d'incompréhension, nous les avions déjà rencontrés (et les rencontrerons encore parfois) lors des diverses réunions et mises au point sur le développement de la structure micro crédit de FAGAD.
Emilie, Marie, Olivier Totorino de la Fuente (!), Camille et Mathilde. Ils ne sont pas beaux nos pagnes ?